BIENVENUE

à la

Grande Hiérophanie Mondiale



A la Gloire du Sublime Architecte des Mondes
Filiations directes Georges BOGE de LAGREZE,
Robert AMBELAIN et KLOPPEL

Sous l'autorité du XII Grand Hiérophante ad vitam et Grand Maître Mondial
Michel GAUDART de SOULAGES

A tous les maçons répandus sur les deux hémisphères

UNION . PROSPERITE . COURAGE

Présentation image

Plusieurs centaines de structures différentes de par le monde dont plus de quatre-vingt en France nous montrent que les Maçons, SS∴ et FF∴ sont en quête de connaissance, d’élévation et de valeurs fondamentales.
Nous observons aujourd’hui un éveil des consciences dû à une crise sociétale internationale. Pour preuve, l’émergence de nombreux courants pseudo-ésotériques, d’écoles de formation à la PNL et autres méthodes de développement personnel basés sur autant de techniques diverses et variées mais trop souvent restrictives voire dogmatiques.
La Maçonnerie Egyptienne à travers ses divers courants initiatiques apporte incontestablement une réponse globale accessible à toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté. Modifier son état de conscience, enrichir son niveau de connaissance pour atteindre le chemin vers la Liberté, voilà la proposition de la Maçonnerie Egyptienne. Les rituels des différents grades, les symboles et les enseignements philosophiques et hermétiques dispensés par les Loges et les Obédiences aux différents grades constituent une base de formation et de travail indispensable à la quête d’évolution et de connaissance de tout Maçon.
La Maçonnerie Egyptienne va au-delà de ces notions intellectuelles et mentales et nous montre le chemin d’une spiritualité empreinte de liberté au-delà de tout dogme et de tout sectarisme. Dès le grade d’Apprenti, les Maçons Egyptiens sont en mesure de poser les fondements du travail futur des Arcana Arcanorum par la prise de conscience de la Présence à l’instant. Ces enseignements très spécifiques à la Maçonnerie Egyptienne restent au cœur de la formation pendant toute l’évolution, par delà les différents Grades. Ce sont tous les fondements de l’alchimie des voies internes qui sont ainsi exercés. Avec le 18° Degré, le Chevalier Rose+Croix entre de plein pied dans la spiritualité chevaleresque opérative et est prêt à appréhender les premières notions de théurgie. Au-delà du 33°, la Maçonnerie Egyptienne marque définitivement sa différence avec tous les autres courants initiatiques. L’étude théorique et pratique de La Gnose se trouve alors au centre de tous les enseignements et de tous les travaux et rituels individuels et collectifs. Le travail de présence à l’instant auquel s’ajoutent les bases de travail théurgique mènent progressivement le Maçon Egyptien vers le 90°, le grade des Arcana Arcanorum.
Ces enseignements initiatiques et hermétiques ouvrent trois voies :
  •  L’alchimie des voies internes
  •  L’alchimie des voies externes
  •  La théurgie
C’est l’aboutissement du chemin maçonnique égyptien. Celui-ci peut se poursuivre par les enseignements de Maître-Guide à travers un travail et l’acquisition de connaissances et d’expériences opératives. Ces enseignements confidentiels, initiatiques voire hermétiques sont sous la garde de la Grande Hiérophanie. Le Grand Hiérophante en est le garant et le détenteur des transmissions les plus secrètes et les plus hermétiques dont les plus importantes sont uniquement verbales.
La Grande Hiérophanie tient sa légitimité par le XII° Grand Hiérophante MGS, successeur direct des filiations de Robert AMBELAIN et de Gérard KLOPPEL et de leurs prédécesseurs. Il est détenteur de transmissions initiatiques et d’enseignements opératifs. Il est entouré de hauts initiés détenteurs d’expériences et de connaissances hermétiques spécifiques. Leur savoir est connu et reconnu au niveau international. Tous ensemble, ils mettent leurs compétences et leur expérience au service des SS∴ et des FF∴ en quête de connaissance.
La Grande Hiérophanie est garante de l’authenticité des transmissions et de la qualité des enseignements théoriques et opératifs.
Les Grandes Constitutions imageLes Grandes Constitutions image
La Grande Hiérophanie Mondiale est régie selon les Grandes Constitutions de l'Ordre Maçonnique International du Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm signées par le X° Grand Hiérophante, Robert Ambelain et par le XI° Grand Hiérophante, Gérard Kloppel.
  • Constitutions de Robert AMBELAIN - X° Grand Hiérophante - Télécharger
  • Constitutions de Gérard KLOPPEL - XI° Grand Hiérophante - Télécharger
Les Loges et les Triangles image
Structure et organisation du Grand Ordre Souverain des Rites Egyptiens (G.O.S.R.E.)


Le GRAND ORDRE SOUVERAIN DES RITES EGYPTIENS rassemble par delà tous les continents de nombreux FF∴ et SS∴ qui partagent les valeurs et les enseignements d'une Maçonnerie Egyptienne authentique qui s'inscrit dans une filiation ininterrompue unique transmise de Grand Hiérophante à Grand Hiérophante passant par Cagliostro, par Garibaldi, Bogé de Lagrèze, Robert Ambelain, Gérard Kloppel jusqu'à Michel GAUDART de SOULAGES, XII° et actuel Grand Hiérophante dépositaire de cette filiation dans la succession directe de ses prédécesseurs.
Ainsi la Grande Hiérophanie Mondiale dont le G.O.S.R.E. est l'Obédience mondiale représente la seule et unique filiation authentique disposant de l'héritage de l'enseignement des Grands Hiérophantes passés.
De fait, la Grande Hiérophanie Mondiale propose à tous les SS∴ et FF∴ en quête de savoir et de transmissions opératives, un chemin qui mène au Divin par les enseignements rituels théoriques et surtout par l'accès à la pratique opérative des Arcanas Arcanorum.
Le GRAND ORDRE SOUVERAIN DES RITES EGYPTIENS est dirigé par le GRAND MAÎTRE MONDIAL.
Son autorité est représentée et assurée par des LIEUTENANCES GENERALES en charge des GRANDES LOGES NATIONALES et des SUPRÊMES CONSEILS NATIONAUX.
Les Grandes Loges Nationales sont dirigées chacune par un Grand Maître.
Les Suprêmes Conseils Nationaux sont dirigés individuellement par un Grand Commandeur.
Ex. : GOSRE-France I GOSRE-Roumanie I GOSRE-Royaume Uni, etc ...
Chaque Grande Loge Nationale est responsable des Loges et Triangles situés dans sa juridiction.
Chaque Suprême Conseil National a en charge les Ateliers de Perfection, Chapitres, Aéropages et Souverain Sanctuaire National relevant de son autorité.
Le Grand Maître National ainsi que le Grand Commandeur National sont les garants du bon fonctionnement de leurs structures et réfèrent aux Lieutenants Généraux correspondants.
Les Loges et Triangles utilisent les Rituels conformes d'un point de vue initiatique, historique et théurgique qui leurs sont mis à disposition par l'ACADEMIE HELIOPOLIS.
ORGANISATION
Les degrés du 1° au 3° sont administrés pour chaque pays par la GRANDE LOGE du GOSRE du pays concerné et dirigée par un Grand-Maître National.
Les degrés du 4° au 90° sont administrés pour chaque pays par le SUPRÊME CONSEIL du GOSRE du pays concerné dirigé par un Grand Commandeur National.
La GRANDE COMMANDERIE est structurée en :
  • Ateliers de Perfection  du 4° au 14°
  • Chapitres du 15° au 18°
  • Aéropages du 19° au 33°
  • Souverain Sanctuaire National du 34° au 90°
Les Grandes Loges et les Suprêmes Conseils, qui sont liés entre eux par des traités d’amitié, sont indépendants les uns des autres et ne dépendent que du Grand Maître Mondial qui nomme les Grands Maîtres Nationaux et les Grands Commandeurs Nationaux.
Le Grand Maître Mondial est assisté pour chaque région du monde par des Lieutenants Généraux en charge des Grandes Loges Nationales et des Suprêmes Conseils Nationaux.
En tant que de besoin, des Visiteurs Généraux peuvent être désignés par le Grand Maître Mondial pour assurer sous son autorité de manière temporaire ou permanente des missions de coordination ou d’inspection de Grandes Loges et de Suprêmes Conseils Nationaux sur une zone géographique déterminée en liaison avec les Lieutenants Généraux.
Le G.O.S.R.E INTERNATIONAL image
  Grands Maîtres Nationaux des Grandes Loges du GOSRE  
  • GOSRE - Angleterre :   A...A H...R 95°
  • GOSRE - Brésil :   N...Y F...S 96°
  • GOSRE - Bulgarie :   I...A R...A 95° 
  • GOSRE - Canada :   J...S G...T 90° 
  • GOSRE - Chili :   J...E R...S 95°
  • GOSRE - Colombie :   R...O C...A 33°
  • GOSRE - Côte d'Ivoire :   E...H M...Y  97°
  • GOSRE - Espagne :   J...O D...N 97°
  • GOSRE - France :   J...S B...D 
  • GOSRE - Italie :   M...O P...T 95° 
  • GOSRE - Liban :   J...C A...I 96°
  • GOSRE - Luxembourg : C...E L...Y 96°
  • GOSRE - Mali : N...E R...U p.i.
  • GOSRE - Mexique :  J...S Q...O 96°
  • GOSRE - Pérou :   C...S P...S 97° 
  • GOSRE - Portugal :   J...S S...O 95°
  • GOSRE - Roumanie :   A...E B...T 96°
  • GOSRE - Suède :   P...A B...R 90°
  • GOSRE - Suisse :   C...E S...T 95°


Le Grand Ordre Souverain des Rites Egyptiens image
Grand-Maître du Grand Ordre Souverain des Rites Egyptiens :  Michel GAUDART de SOULAGES 99°
Grand-Maître d'Honneur du Grand Ordre Souverain des Rites Egyptiens : J...P G...E 97°
Le GRAND ORDRE SOUVERAIN DES RITES EGYPTIENS est une Obédience qui gère au niveau international les Rites Maçonniques Egyptiens dont le Grand Cophte est  Michel GAUDART de SOULAGES 99°.
Elle gère également les Rites Maçonniques Non Egyptiens dont le Président d’Honneur du Suprême Conseil des Rites Confédérés est le Grand Hiérophante  Michel GAUDART de SOULAGES 99°, selon le décret du 25 Novembre 2008.
 
Le GRAND ORDRE SOUVERAIN DES RITES EGYPTIENS est une structure internationale. 
Son Grand Maître est conseillé par les membres du Souverain Sanctuaire International et assisté par les Lieutenances Générales ainsi que par les Grandes Loges Nationales et les Suprêmes Conseils Nationaux.
Le GRAND ORDRE SOUVERAIN DES RITES EGYPTIENS a autorité sur les Loges qui demeurent autonomes mais non indépendantes.
 
Le GRAND ORDRE SOUVERAIN DES RITES EGYPTIENS met à disposition de ses structures et des Obédiences ayant signé un traité d'amitié :
  • Des rituels authentifiés et certifiés conformes d'un point de vue historique, initiatique et théurgique
  • Des enseignements écrits et oraux
  • L’histoire des Ordres et des Rituels
  • Des rencontres fraternelles internationales
  • L'accès aux enseignements de l'Académie Héliopolis
Par sa structure d’organisation internationale, le GRAND ORDRE SOUVERAIN DES RITES EGYPTIENS permet à tout profane remplissant les conditions exigées d’intégrer une Loge intégrée à la Grande Hiérophanie, pratiquant des rituels authentiques et dispensant des enseignements opératifs complets jusqu'aux Arcana Arcanorum.
Structure et organisation
du Grand Ordre Souverain des Rites Egyptiens (G.O.S.R.E.)
 
Le GRAND ORDRE SOUVERAIN DES RITES EGYPTIENS rassemble par delà tous les continents de nombreux FF∴ et SS∴ qui partagent les valeurs et les enseignements d'une Maçonnerie Egyptienne authentique qui s'inscrit dans une filiation ininterrompue unique transmise de Grand Hiérophante à Grand Hiérophante passant par Cagliostro, par Garibaldi, Bogé de Lagrèze, Robert Ambelain, Gérard Kloppel jusqu'à  Michel GAUDART de SOULAGES, XII° et actuel Grand Hiérophante dépositaire de cette filiation dans la succession directe de ses prédécesseurs.
Ainsi la Grande Hiérophanie Mondiale dont le G.O.S.R.E. est l'Obédience mondiale représente la seule et unique filiation authentique disposant de l'héritage de l'enseignement des Grands Hiérophantes passés. 
De fait, la Grande Hiérophanie Mondiale propose à tous les  SS∴ et FF∴ en quête de savoir et de transmissions opératives, un chemin qui mène au Divin par les enseignements rituels théoriques et surtout par l'accès à la pratique opérative des Arcanas Arcanorum.
Le GRAND ORDRE SOUVERAIN DES RITES EGYPTIENS est dirigé par le GRAND MAÎTRE MONDIAL. 
Son autorité est représentée et assurée par des LIEUTENANCES GENERALES en charge des GRANDES LOGES NATIONALES et des SUPRÊMES CONSEILS NATIONAUX.
Les Grandes Loges Nationales sont dirigées chacune par un Grand Maître.
Les Suprêmes Conseils Nationaux sont dirigés individuellement par un Grand Commandeur.
Ex. : GOSRE-France  I  GOSRE-Roumanie  I  GOSRE-Royaume Uni, etc ...
Chaque Grande Loge Nationale est responsable des Loges et Triangles situés dans sa juridiction.
Chaque Suprême Conseil National a en charge les Ateliers de Perfection, Chapitres, Aéropages et Souverain Sanctuaire National relevant de son autorité.
Le Grand Maître National ainsi que le Grand Commandeur National sont les garants du bon fonctionnement de leurs structures et réfèrent aux Lieutenants Généraux correspondants. 
Les Loges et Triangles utilisent les Rituels conformes d'un point de vue initiatique, historique et théurgique qui leurs sont mis à disposition par l'ACADEMIE HELIOPOLIS.
  ORGANISATION  
Les degrés du 1° au 3° sont administrés pour chaque pays par la GRANDE LOGE du GOSRE du pays concerné et dirigée par un Grand-Maître National.
Les degrés du 4° au 90° sont administrés pour chaque pays par le SUPRÊME CONSEIL du GOSRE du pays concerné dirigé par un Grand Commandeur National. 
La GRANDE COMMANDERIE est structurée en :
  • Ateliers de Perfection  du 4° au 14°
  • Chapitres du 15° au 18°
  • Aéropages du 19° au 33°
  • Souverain Sanctuaire National du 34° au 90°
Les Grandes Loges et les Suprêmes Conseils, qui sont liés entre eux par des traités d’amitié, sont indépendants les uns des autres et ne dépendent que du Grand Maître Mondial qui nomme les Grands Maîtres Nationaux et les Grands Commandeurs Nationaux.
Le Grand Maître Mondial est assisté pour chaque région du monde par des Lieutenants Généraux en charge des Grandes Loges Nationales et des Suprêmes Conseils Nationaux.
En tant que de besoin, des Visiteurs Généraux peuvent être désignés par le Grand Maître Mondial pour assurer sous son autorité de manière temporaire ou permanente des missions de coordination ou d’inspection de Grandes Loges et de Suprêmes Conseils Nationaux sur une zone géographique déterminée en liaison avec les Lieutenants Généraux.
Pilier DJED imagePilier DJED imagePilier DJED image
Le PILIER (ou la colonne) DJED (ou TET) représente le CENTRE et le TRONC d'un ARBRE ébranché, c'est à dire sans vie. Le DJED (le centre) est associé avec " SAMU " la branche d'arbre, communément appelé la " CLÉ DU NIL " et l' ANKH (la vie). Ces symboles sont placés sur un panier, ce panier est le " TOUT " (l'un, l'unité).

Homophone du mot signifiant " durée ", il a servit de modèles à d'innombrables amulettes. Sur les murs de la grande salle, la scène la plus connue représente le pilier DJED et son érection. C'est est un mystérieux symbole de résurrection et de fertilité, il est OSIRIS ressuscité en HORUS son fils, il symbolise le relèvement d'OSIRIS. En relation avec l'AXE de la Terre, le pilier DJED est un symbole parfait pour une " porte des étoiles ".

Le DJED, est parfois représenté avec un ou deux piliers, parfois quatre, après la mort de OSIRIS, le DJED est devenu la colonne vertébrale et la moelle épinière du die. Il est également associée à l'écorce de RA.

Le pilier DJED est un très ancien fétiche attesté à Hiérakonpolis dès l'époque thinite dans le cadre d'un culte rendu à Sokar ; un dieu funéraire représenté sous la forme d'un faucon momifié. La signification d'origine du DJED n'est pas encore connue. Mais dès ses débuts, ce pilier fait aussi partie des rites agraires de la fertilité du grain.

Le pilier DJED est pourvu de deux yeux OUDJAT, de différentes couronnes (dont celle constituée de deux hautes plumes d'autruche) et est revêtu du pagne royal. Dans l'écriture hiéroglyphique, le DJED est le signe de la stabilité. Dans le rituel d'Abydos, cette notion de stabilité renvoie à la nécessaire cohésion du Double-Pays formé par l'union de la Haute et de la Basse-Égypte.
Le hiéroglyphe « Djed » signifie en égyptien « stabilité », « durée ». Associé au dieu égyptien OSIRIS et à son phallus, le pilier DJED était considéré par les égyptiens comme le symbole de la résurrection. Dans le mythe, ISIS avait rassemblé les membres de son frère et avec l'aide de sa soeur NEPHTYS, ISIS avait redonné vie à son corps grâce à ses pouvoirs magiques et l’étrange puissance du pilier DJED.

À partir du Nouvel Empire égyptien, le DJED est anthropomorphisé et ses représentations se rapprochent de celles d'OSIRIS. Sur les reliefs du temple funéraire de Séthi Ier, le DJED tel un OSIRIS ressuscité s'anime et reprend vie après avoir été redressé par le pharaon Ramsès II. Là, le rite de l'érection du DJED consiste à rendre la vie au dieu PTAH-OSIRIS.

Dans son Dictionnaire illustré de l'Egypte antique l'écrivain 'Ernest J. Wurlod donne une définition du pilier DJED :

" Pilier en forme de tronc ébranché attribué au dieu Osiris, qui symbolise la colonne vertébrale du dieu assassiné. Il symbolise aussi la continuité, la stabilité de l'univers et son harmonie, ce que l'on représentait pendant la fête Sed, lorsque le roi d'Egypte érigeait le pilier sacré pour le dieu Ptah. Parce que Seth renversa ce pilier en tuant son frère Osiris, le pharaon avait comme premier devoir de le redresser rituellement pendant la cérémonie de son couronnement, puis au moment de ses jubilés. Le pilier Djed jouait également un rôle de premier plan dans les rites agricoles, car il représentait, debout, la résurrection d'Osiris devenu le pilier de l'Egypte et du monde, le principe éternel reliant la Terre au monde céleste."

Le DJED est d'une grande signification religieuse pour les anciens Egyptiens, il était considéré nécessaire afin d'aider à la transformation. Le lent cheminement tout le long du pilier DJED, ou de la colonne vertébrale abouti au disque solaire, lumineux et la résurrection du Pharaon, ou du commun déifié en RÊ immortel. Chez les gnostiques, il représente symboliquement la colonne vertébrale du chemin de vie. Le DJED est utilisé pour les rituels, il représenterait l'AXE de la Terre et le PHALLUS Osirien pour la grande moisson de l'année, mais aussi de la précession puisque l'AXE de la Terre bouge dans le grand cycle de 26 000 ans.
RESURRECTION EGYPTIENNE imageRESURRECTION EGYPTIENNE image
ISIS à ressuscité OSIRIS, elle lui a donné une nouvelle naissance, la possibilité de réaliser de nouveau un cycle de viie comme la Lune. ISIS donne ensuite naissance à son fils HORUS, le Soleil nouveau bienfaisant et non desséchant et la nouvelle pousse. Nous retrouvons là encore tout comme en Mésopotamie le Soleil fils de la Lune. OSIRIS LUNAIRE devient, tout comme NERGAL SIN et le seigneur NEMROD des mythes babyloniens, le dieu des enfers et de la mort. À ce titre, il se retrouve au cœur des grandes initiations dont le LIVRE DES MORTS nous donne un aperçu.

Alors, OSIRIS entouré de quarante-deux assesseurs, préside au jugement des morts. Voilà pourquoi OSIRIS, dieu lunaire, est parfois noir avec une couronne blanche. Il a le visage sombre de la LUNE cendrée qui, en fait, apparaît marron, gris ou vert sombre sur le ciel bleu et il est couronné de la haute couronne blanche, symbole de la " LUMIERE LUNAIRE ". On ne peut donc ignorer son assimilation au symbolisme lunaire même si le peuple égyptien donna une supériorité au culte du SOLEIL dans sa religion.

Ce mythe, que l'on retrouve plus tard à Babylone avec NEMROD est très proche du mythe d’ HIRAM des francs-maçons, mais à l'origine il est OSIRIS. Le fait qu’OSIRIS, fils du CIEL et de la TERRE, enseigne l’agriculture à son peuple dans les traditions l’associent aux moissons, et c’est la raison pour laquelle il est souvent porteur d’un EPI DE BLE comme la VIERGE / ISIS.

Cette généalogie et cette attribution lient le Dieu à la fois à ce qui est en haut et à ce qui est en bas par les mystères de la germination. D’autre part, la recherche du corps par sa sœur épouse ISIS jusqu’aux confins du monde des morts confirme cette attribution et en détermine les contours, de même qu’elle permet de décrire l’environnement des âmes.

Ce qui différencie les ténèbres de la clarté est essentiellement indiqué par le fait que ce sont les épouses qui partent à la recherche du défunt. Cette différence de sexe accentue encore l’alternance de l’ombre et de la lumière. Le monde des morts n’est accessible qu’une fois dévêtu. Il s’agit bien de tout laisser à la porte de ce qui peut rappeler le monde visible. Tout s’organise comme si du fond de la Terre germait la Lumière.

C’est principalement le grec PLUTARQUE qui en décrivit le développement vers 66 a.d. ce qui laisse à penser que les grands mystères étaient, depuis la plus haute antiquité, l’objet de transmissions secrètes car le peu d’informations dont on dispose sur cette légende la fait remonter au moins à un millénaire avant le christ.

Le mythe égyptien a ceci de très particulier qu’il propose quelque chose de plus que ce que dévoile une parabole ordinaire, nous nous trouvons ici face aux véritables prémices d’un enseignement sacré. L’intelligence de la légende d’ OSIRIS est précisément de développer une certaine notion de l’évolution, voire, de la transmigration des âmes, leur retour au divin, leur reconstitution après le démembrement et leur complète fusion avec le divin. Cela formera le fondement des légendes relatives au « DIEU QUI MEURT ».

L’inconscient collectif qui les véhicules est à ce point proche de la nature profonde de l’homme que le fondement de la légende ne peut que se transmettre, s’adapter mais pas être oubliée. Il y a peu de textes qui abordent le mythe osirien et cette discrétion le rapproche du mythe d’ HIRAM (avatar de Osiris) dans la mesure où, pour ce dernier, on ne dispose pas non plus d’éléments écrits qui développent les raisons profondes de son élaboration.

OSIRIS, " le bienveillant " aussi appelé OSIRIS (Ausar) est fils de NOUT et de GEB, le CIEL et la TERRE. Il règnera vingt huit ans durant lesquels il enseigne aux égyptiens l’art de l’agriculture avant d’être la victime d'un complot organisé par son frère SETH, image du désordre, du chaos. Alors qu'il revient victorieux d'une longue campagne de conquêtes, SETH profite des fêtes organisées à cette occasion pour inviter son frère à un banquet.

Au cours de la soirée, il met OSIRIS au défi de s’allonger dans un grand coffre. Lorsque ce dernier y fut couché, SETH (aidé de 72 complices, les 72 génies des demi-décans du zodiaque), referma le lourd couvercle sur lui et le scella avec du plomb fondu. Puis SETH et ses complices portèrent le coffre sur le Nil et le firent descendre jusqu'à la mer.

Là où ISIS franchit les portes en abandonnant à chaque fois une part de ses parures afin de descendre plus profondément, Isis déchire ses vêtements et parcoure le monde à la recherche du coffre dans lequel "le Bienveillant" a été enfermé. Néanmoins, elle ne ramènera pas OSIRIS par un voyage de retour car ceux qui descendent en ces lieux ne peuvent pas revenir et c’est seulement l’Amour d' ISIS, symbole de la régénération et de la vie éternelle qui permettra de retrouver le corps.

ISIS alors remonta sur sa " BARQUE DE PAPYRUS ",bien décidée à retrouver les 14 morceaux du corps de son bien-aimé, à tra­vers le labyrinthe du marais, mais elle n'en retrouva que 13. La seule partie qu'elle ne parvint pas à retrouver, malgré tous ses efforts et malgré l'aide des obligeants crocodiles, fut le membre viril car il avait été mangé par des poissons. Toutefois il avait eu le temps de donner au fleuve sa force fécondante.

Durant le voyage d' ISIS aux enfers, le coffre contenant le corps, entraîné par la mer, atteignit les côtes de Phénicie où il s’échoua aux pied d’un ACACIA (ou d’un Tamaris, selon les versions). La quête dura si longtemps que le tronc de l’ACACIA recouvrit la boite contenant le corps d’ OSIRIS. Le roi de Byblos, occupé à faire construire son nouveau palais, fait abattre l'arbre afin d’en faire l’une des deux colonnes qui doivent en décorer l’entrée.

ISIS entend parler de l’odeur qui s’échappait du tronc alors qu’on le coupait. Elle en comprend aussitôt la signification et se rend en Phénicie où on lui remet la colonne prodigieuse. Elle ouvre la colonne de bois et en retire le cercueil de son époux qu'elle arrose de ses larmes. Elle le ramène en Egypte et le cache au fonds du marais DELTA afin que SETH ignore que le corps ait été retrouvé. Mais il découvre le coffre alors qu'il chassait au clair de Lune. Furieux qu’OSIRIS soit encore entier malgré le temps écoulé, il coupa le corps en 14 morceaux et, de tous côtés, les dispersa à travers le pays.

Découvrant cela, ISIS se mettra à la recherche des morceaux. Elle les retrouvera tous à l’exception du sexe, dévoré par un poisson. Elle se résolut à fabriquer un phallus artificiel et le consacra. C'est ce phallus dont aujourd'hui encore les Égyptiens célèbrent la fête. Aidé par ANUBIS, THOT et NEPHTYS, elle recomposera le corps démantelé et le momifiera.

Ramené à la Vie par ces pratiques et désormais à l'abri de la mort, OSIRIS se retire dans les mondes souterrains, il laisse alors le trône du monde visible à son fils HORUS, qui se vengera de SETH et deviendra le modèle des rois à venir.

Nous avons donc ici un dieu lunaire dont la mise à mort commence au moment de sa décroissance. La LUNE meurt au terme de son cycle de 28 levers (dans le cycle de 30 jours d'une NOUVELLE LUNE à une autre, il y a 28 levers de lune observables), c'est-à-dire à sa disparition lors de sa conjonction avec le SOLEIL. Ce nombre 28 est le nombre de jours pendant lesquels la LUNE éclaire.

Plutarque indique clairement: « Les Égyptiens, dit-il, interprètent le dépeçage d'OSIRIS en 14 morceaux comme un symbole des jours pendant lesquels la LUNE décroît après la PLEINE LUNE jusqu'à la néoménie.». Le croissant, symbole du phallus, en Inde et en Mésopotamie, est perdu puisque la Lune a disparu. Mais heureusement, ISIS en fabrique un et dès lors le dieu ressuscite et peut à nouveau être fécond.
L'Etoile Flamboyante image

Des observateurs habiles ont toujours su trouver dans le ciel un formidable générateur de symboles : le Soleil, la Lune et les étoiles en sont peut-être les premiers. L’étoile à cinq branches est une forme particulière d’étoile, sans doute la plus employée dans un contexte initiatique et mystique, et ce dans plusieurs traditions différentes. L’étoile de la franc-maçonnerie peut ainsi avoir pour origine l’école pythagoricienne. Dans un contexte profane, elle symbolise le pouvoir, comme en témoignent les dizaines de drapeaux nationaux ou internationaux contenant ce symbole, du fanion européen à celui de l’ex-URSS. Dans un contexte sacré, elle revêt de multiples significations, mais ayant pour base la même origine et le même but, sur lesquels il est utile de s’interroger. En quoi l’Étoile Flamboyante, constitue-t-elle le symbole ultime du processus initiatique ? Après avoir énoncé les modalités de sa construction en rapport avec le nombre d’or, je tâcherai d’évoquer les éléments symboliques généraux rattachés au pentagramme et à l’Étoile Flamboyante; puis l’étude de la lettre G et de l’utilisation de l’étoile dans les contextes maçonnique, magique et alchimique précèderont mes propres interprétations.
La construction du pentagramme est en étroite relation avec le nombre d’or qui aurait été utilisé dès les Pythagoriciens arborant d’ailleurs comme emblème un pentagramme. Le nombre d’or, nombre irrationnel environ égal à 1.618, établit la « divine proportion » utilisée par les hommes, notamment artistes pour sa capacité à susciter une perfection esthétique ou sonore par exemple, mais que l’on retrouve surtout dans maints aspects de la nature. Si on considère trois points placés sur une droite, le nombre d’or correspond au rapport entre le segment le plus petit et le plus grand ; ce rapport est aussi égal à celui entre le segment le plus grand et le tout. Il est de tradition de tracer le pentagramme sans lever la main, c'est-à-dire en une fois, partant de la pointe supérieure pour retourner à cette même pointe, après deux chutes, deux remontées, et une phase stable. Ainsi, le processus est non seulement entier mais continu. Pour construire le pentagramme, on utilise seulement deux instruments : la règle et le compas. La manière la plus précise possible pour le tracer est d’établir dans un premier temps le rapport du nombre d’or sur un segment ; à partir de ce début de construction il est possible d’obtenir un rectangle. Et par un jeu de report de mesures, on trace le côté horizontal de l’étoile avant d’obtenir le sommet grâce à l’intersection de deux arcs de cercle, par le compas. Le pentagramme symbolise donc dans un premier temps l’harmonie universelle via l’utilisation du nombre d’or.
Voyons désormais quelques éléments généraux nécessaires à la compréhension de la symbolique du pentagramme et de l’Étoile Flamboyante. La symbolique du pentagramme tient d’abord de celle du chiffre cinq, celui de l’homme, de l’évolution verticale de la matière vers l’esprit. On peut penser bien sûr aux cinq éléments que sont la terre, le feu, l’air, l’eau et le cinquième, l’éther. Résumant ainsi les principes fondamentaux de l’univers nécessaires à la vie et à la conscience, le pentagramme devient quintessence. L’écart entre chaque pointe est de 72°, faisant écho au zodiaque. Le pentagramme est un symbole orientable : sommet vers le bord supérieur, il incarne le principe du Bien et avec l’homme de Vitruve réalisé par Léonard de Vinci, on s’aperçoit que l’Homme écartelé parfaitement proportionné selon le nombre d’or s’inscrit parfaitement dans le pentagramme. Le pentagramme devient ainsi le symbole de l’homme régénéré, synthèse de la divinité et de la bestialité que l’on retrouve dans l’interprétation de l’étoile dans le tarot; a contrario, orienté vers le bas –donc inversé-, il incarne la bestialité, le bouc satanique et malfaisant. Dans cette optique le pentagramme représente l’harmonie et l’équilibre des contraires, car il les synthétise. Eliphas Lévi y voit la « toute puissance » et l’ « autocratie intellectuelle ». La pointe de l’étoile correctement orientée, c’est la victoire de l’esprit intangible sur la matière.
Mais l’Étoile Flamboyante est un pentagramme tout à fait particulier; son flamboiement, souvent représenté par des flammes jaillissant d’entre l’espace qui sépare les pointes de l’étoile, l’en distingue. Elle irradie, illumine de l’intérieur, apportant un élément de connaissance universel, s’efforçant de construire une unité parfaite qui parfois vient entourer l’étoile sous la forme d’un cercle. L’Étoile Flamboyante devient ainsi symbole d’espoir, car elle écarte les Ténèbres à l’image de l’étoile des rois mages qui en plus d’éclairer, guide. La tradition judaïque fait d’ailleurs des étoiles une représentation des anges. Par opposition à l’hexagramme stable, le pentagramme est un symbole dynamique. L’étoile devient ainsi un processus, et non une fin en soi. Elle indique un chemin.
Il est souvent évoqué que sans la lettre « G » en son centre, l’Étoile ne serait pas flamboyante. Autrement dit, le « G » serait la cause du flamboiement intérieur de l’étoile. Bien qu’auparavant connue, Wirth situe son apparition dans la franc-maçonnerie française à partir de 1737. Beaucoup ont ainsi cherché à expliciter la présence de cette lettre au centre de l’étoile, d’en trouver le sens. Sont évoqués tous les noms commençant par la lettre « G », à commencer par les mots étrangers comme God ou Gott par exemple. Cependant cette interprétation ne tient pas compte de la prééminence du français à l’époque moderne. Il pourrait s’agir de Gloire, Grandeur, Géométrie, Gravitation, Géométrie, Génie, Gnose. La difficulté s’accroît lorsqu’on s’aperçoit que la lettre « G » avait auparavant la même valeur phonétique que la lettre « C ». Le nombre de possibilités devient ainsi de plus en plus important. Chacun possède son propre avis, mais l’énigme reste entière. Grammaire, Géométrie et surtout plus probablement Gnose, c'est-à-dire la connaissance portée par la lumière de l’Initiation peuvent chacun être à l’origine de cette lettre qui suscite l’interrogation.
L’Étoile Flamboyante est utilisée dans différents contextes initiatiques, en particulier dans la magie, l’alchimie et la franc-maçonnerie. Éliphas Lévi définit la magie comme la « science traditionnelle des secrets de la nature ». Pour en parler brièvement, la magie n’utilise pas l’Étoile Flamboyante à proprement parler mais plus souvent le pentagramme, qui, inscrit dans de nombreux cas dans un cercle, et prend toute sa puissance, selon son orientation « pouvant changer le caractère de toute l’opération ». Ainsi l’adepte peut utiliser le pentagramme de manière positive ou négative, selon son intention. Le principe de l’unité y est, tout comme dans la franc-maçonnerie, omniprésent : « un est dans un, tout est dans tout ». La place du pentagramme en magie est très importante : Éliphas Lévi y voit la « domination de l’esprit sur les éléments » et donc la matière, affirmation nécessaire à l’existence même de la magie et de ses effets. Il agit même comme un enchantement, « forçant les esprits à apparaître en songe ». Le pouvoir qu’exerce le pentagramme réside dans sa synthèse des « forces occultes de la nature ». Il ne s’agit pas d’un simple symbole, mais d’une clef pour agir sur les forces invisibles, qu’elles soient manifestées ou non; pour cette raison est mis en garde celui qui voudrait l’utiliser sans l’avoir compris.
L’alchimie accorde une place encore plus grande à l’Étoile Flamboyante. En effet elle y voit la quintessence, c'est-à-dire la réalisation du Grand-Œuvre, de la pierre philosophale. Dans cette optique, le Baron de Tschoudy la considère comme la représentation de la nature et l’assimile à un « souffle divin, feu central et universel qui vivifie tout ce qui existe ». D’ailleurs, une pomme, symbole de la connaissance du Bien et du Mal dans la tradition judéo-chrétienne, lorsqu’elle est coupée en deux, a ses pépins formant un pentagramme. La phrase du compagnon : « j’ai vu l’étoile flamboyante » pourrait se référer à une étape précise du processus alchimique visible sur le compost. La lettre « G » même se réfèrerait à l’initiale de la matière première nécessaire à la fabrication de la pierre philosophale.
Dans la franc-maçonnerie, l’étoile flamboyante comme le chiffre cinq font état du passage du grade d’apprenti à celui de compagnon. Cependant, un pentagramme dans lequel est inscrit l’ankh est déjà présent dans le cabinet de réflexion du futur apprenti ; durant le rituel d’initiation, le maître châtié est placé selon un pentagramme inversé et une fois initié, l’Étoile flamboie pour la première fois brièvement. L’étoile agit ainsi comme un guide montrant la lumière à l’initié. Elle le guide dans sa démarche. Le chiffre cinq est celui du compagnon âgé de cinq ans, s’exprimant par les cinq coups de maillet ; alors qu’au grade d’apprenti il a découvert le chiffre trois par la purification par les quatre éléments, le rituel de passage au grade de compagnon lui fait passer les cinq voyages intérieurs, à savoir la prise de conscience des cinq sens –la vue l’ouïe, le goût, l’odorat et le toucher-, des ordres d’architecture, des arts libéraux, des cinq philosophes dont le cinquième, Jésus, serait la synthèse et la quintessence des quatre autres –Solon, Socrate, Lycurgue, et Pythagore. L’allumage de l’Étoile est un élément capital du rituel du second degré. La phrase du compagnon « j’ai vu l’Étoile Flamboyante, je connais la lettre « G » » en révèle toute la portée symbolique.
Trois dirige la loge, cinq l’éclaire de la Connaissance. C’est ainsi qu’en tant que figure de l’Isis antique, l’Étoile Flamboyante rayonne à l’Orient, au-dessus de la chaire du Vénérable, parfois placée sur l’évangile de Jean. La configuration de la loge et la place des officiers fait aussi référence à cette Étoile, dont les pointes sont constituées par les cinq lumières de la loge, à savoir les deux surveillants, le secrétaire, l’orateur, et le sommet supérieur par le Vénérable ; le centre, assimilé alors à la lettre G, correspondrait au naos.
De mon point de vue, le pentagramme est un symbole opératif qui fait appel au Verbe dans son sens actif et qui, en plus de représenter les différentes forces de l’univers, permet de retrouver « le point central où tout est un ». C’est le chemin indiqué par la Lumière. L’étoile, en tant que guide, nous invite à nous diriger vers son centre pour y trouver ce qui est exprimé dans le rituel par la « béatitude infinie ». Il s’agit de se dégager des forces de l’univers en les synthétisant, comme l’est d’ailleurs un des buts profonds de l’emploi du pentagramme en tant que réunion des contraires. Ainsi réunies, elles ne peuvent plus s’exercer de manière autonome, mais de concert, en révélant la nature profonde de l’unité que l’on peut obtenir ou plutôt ressentir de manière profonde en faisant abstraction des sens tout autant qu’en faisant appel à la lumière éternelle du naos au centre de l’étoile constituée par les cinq lumières de la loge. En ce qui me concerne, la recherche de la signification de la lettre « G » représente en filigrane cette quête de l’absolu. La connaissance peut être la cause du flamboiement de l’étoile, par le feu de la transmission et de l’Initiation ; mais elle pourrait aussi être sa conséquence dans le sens où le chemin initiatique mène à ce centre. Le flou qui règne sur la lettre « G », même si celle-ci fait probablement référence au mot « Gnose », pourrait inviter l’adepte à se défaire des concepts et des formes pour retrouver une partie de la Lumière. L’Étoile est un symbole dynamique et actif ; cependant si l’on observe son centre, son mouvement est une parfaite illusion. La recherche de ce centre permet ainsi de s’affranchir progressivement de ce mouvement qui n’est en fait qu’un ensemble de changements incontrôlés, de causes et de conséquences sans fin. Rechercher le centre de l’Étoile c’est ainsi chercher l’origine du feu de l’Être à l’origine des formes et de la Vie. Le centre permet de rallier ce qui est divisé en son sein, par fusion consciente. La construction de l’étoile ne peut se réaliser que par l’emploi d’une proportion parfaite qui ne peut se faire sans la compréhension de l’équerre et du compas, lequel est indispensable pour tracer le sommet supérieur de l’étoile relié au divin.
C’est donc l’esprit qui se met en quête et qui, s’il choisit la bonne orientation, amène l’initié à se défaire de la bestialité de son état d’homme pour retrouver une partie de son habit divin. Car c’est la « divine proportion » qui crée l’Étoile Flamboyante de la même manière qu’elle est contenue dans plusieurs facettes des manifestations de la nature. C’est ainsi que l’Étoile Flamboyante, s’appuyant sur la force du pentagramme et le feu de l’initiation, matérialise le processus initiatique en lui-même. La magie, l’alchimie et bien sûr la franc-maçonnerie en font un élément fondamental, un symbole opératif permettant de semer et de faire vibrer le Verbe dans le but de guider vers la Lumière, vers le refus des vices et la pratique de la vertu. Plus que symbole c’est un véritable guide du processus initiatique.


Bibliographie
  • BAYARD, Jean-Pierre. Symbolisme maçonnique traditionnel. Tome 1. Paris, Edimaf, 1982. 
  • BOUCHER, Jules. La symbolique maçonnique. Paris, Dervy, 1998. 
  • LEVI, Eliphas. Dogme et rituel de haute magie. Paris, 1930. 
  • Rituels du Premier et du Deuxième Degré de l’Ordre Maçonnique Oriental du Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm. 
  • TRESCASES, Jacques. L’étoile flamboyante. Vega, 2011, coll. « Pierre d’angle » 
  • TSCHOUDY, baron de. L’étoile flamboyante ou la Société des Francs-Maçons Considérée 
    sous tous ses aspects. Tome second. A l’Orient chez le silence, 1766.
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XII° Grand Hiérophante
XII° Grand Maître Mondial




Le mot du Grand Hiérophante


Michel GAUDART de SOULAGES
XII° GH ad vitam

Rassembler ce qui est épars !
Il n'y a pas à juger du passé de ces dernières décennies et de ce qui a historiquement entraîné un émiettement d'un Rite bicente­naire en plus de quatre vingt structures à ce jour.
Ce symposium, le premier du genre, a pour seul mais essentiel objectif de rappeler qu'au delà de ces péripéties historiques, le Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm nous fait retrouver la Tradition primordiale par le moyen des Arcana Arcanorum.
Dispensés dans les ultimes degrés du Rite, les Arcana Arcano­rum viennent couronner, tel un pyramidion, les degrés qui les pré­cèdent et auxquels ils donnent tout leur sens et leur raison d'être.
Après l'enseignement venu de l'extérieur par les degrés symbo­liques et philosophiques du Rite, vient avec les degrés hermétiques le temps de la véritable construction intérieure qui nous incorpore aux dieux.
Par l'édification de notre corps de gloire, l'Akh égyptien, nous parvenons à une pratique réelle de la voie d'immortalité qui nous soustrait à la loi de la réincarnation par les trois techniques opéra­tives qui permettent de gérer la vie post mortem en rapport avec les traditions de l'ancienne Egypte : la théurgie, l'alchimie externe et l'alchimie interne.
C'est ici qu'il faut rappeler que le Secretum Secretorum transmis exclusivement de Grand Hiérophante à Grand Hiérophante, repose sur l'utilisation des mancies, la maîtrise de l'Alchimie spirituelle et les clés de la Liberté primordiale.
Par cette triple connaissance, le Grand Hiérophante peut ainsi remplir sa tâche spirituelle qui est de transmettre non seulement l'enseignement mais surtout la pratique opérative des Arcana Arca­norum ou plus exactement l’Arcana Arcanorum.
Devenu selon la volonté expresse de mes prédécesseurs et de mes frères aînés Grand Hiérophante, conservateur suprême du Rite, j'ai voulu que ce symposium par la qualité de ses conféren­ciers et de leurs travaux montre que le Rite Ancien et Primitif de Memphis Misraïm est une voie initiatique incomparable pour aller réellement vers le divin.
Celui-ci ne peut se trouver que dans un état particulier, un état originel entièrement retrouvé car, comme l'a écrit Clive Staples Lewis : « Les Dieux nous regarderont face à face que lorsque nous aurons nous-mêmes un visage. »
Dans ce contexte, je suis en ma qualité de Grand Hiérophante, au service de tous ceux qui souhaitent progresser sur la voie égyp­tienne afin d'entendre la révélation en plein état de conscience et de manière absolument claire.
Et donc, pour clôturer nos propos en cette période de résur­rection de notre Rite, mettons-nous au travail dans la présence de l'instant et sous la protection des anciens Dieux de l'Égypte, fa­cettes d'une même réalité qui est le Dieu unique de toujours.
Le puissant tombe et repose sur le côté, il se relève, car, vois, c'est un dieu. Sa force est en lui et sa couronne est sur sa tête.
Roi, relève-toi !

Michel XII° GH
XII° Grand Hiérophante ad vitam et Grand Maître Mondial
Grand Cophte du Grand Ordre Souverain des Rites Egyptiens (GOSRE)
Grand Pontife du Grand Collège Hermétique (GCH)
Grand Maître Emérite de l'Ordre Intérieur des Ordres Chevaleresques (OIOC)


Légitimité du Grand Hiérophante

La légitimité d’un Grand Hiérophante passe par trois éléments :

1°) Une filiation légitime
2°) La possession des enseignements attachés à sa fonction
3°) La reconnaissance de son autorité spirituelle par ses FF et SS.

Apportons quelques précisions pour chacun de ces trois éléments.
Premièrement pour ce qui a trait à la filiation : il est essentiel qu’elle soit transmise au vu et au su de tous.
Aussi, la signature de témoins sur les patentes qui en attestent est un point essentiel pour légitimer la filiation reçue.
D’autre part, la Grande Hiérophanie ne pouvant être détenue que par une personne, il est évident que la cérémonie en conférant la fonction ne peut être réalisée qu’une seule fois et pour une seule personne, le successeur choisi, du vivant de son prédécesseur.
Aussi tout écrit contredisant cette transmission peut être considéré comme suspect, surtout lorsqu’il n’est présenté qu’après le décès du seul signataire supposé – qui ne peut donc pas en confirmer ou infirmer la véracité…
La Grande Hiérophanie ne peut être partagée, et un individu assuré de sa légitimité ne saurait signer de document allant dans ce sens – par exemple en se reconnaissant « substitut Grand Hiérophante » et encore moins quand il a été rendu à la vie profane.
Deuxièmement, la possession par le Grand Hiérophante d’enseignements spécifiques et gardés secrets pour n’être transmis qu’aux plus aptes, tant au sujet de l’alchimie, que de la théurgie par exemple, atteste du bienfondé de sa charge.
Enfin, la reconnaissance par les différentes Obédiences du Grand Hiérophante comme incarnation du Rite regroupant les trois fonctions que sont l’autorité spirituelle, le pouvoir temporel et la mission prophétique, est le gage de son authenticité et de sa légitimité.
Ainsi, il importe de se demander quels sont ceux qui remplissent ces fonctions parmi les Grands Hiérophantes auto-proclamés, y compris au 100e degré du Rite, degré qui n’a jamais existé…
Trois points, c’est tout…





Curriculum Vitae du

Grand Hiérophante


  • 19 août 1948 : naissance à Pondichéry (Inde française) dans une famille héritière de traditions ésotériques chrétiennes, juives et hindoues.

  • 15 juin 1967 : initiation au grade d’apprenti, à la Grande Loge de France, à Paris. Puis, il sera reçu dans plusieurs structures initiatiques tant occidentales qu’orientales.
  • 14 avril 1971 : Jeune maître maçon, il rejoint la Grande Loge Nationale Française après avoir été reconnu par la Grande Loge de l’Inde. Deviendra Vénérable d’Honneur de trois Loges et membre du Souverain Grand Comité. Dans les hauts grades de la Franc-Maçonnerie, sera 30ème du REAA, commandeur du RER, officier national de Malte maçonnique et de la Marque, dirigeant de loges, chapitres, collèges, tabernacles des Nautoniers, du Moniteur Secret, des Grades Alliés, des Maîtres Royaux et Choisis, des chevaliers du Temple Prêtres KTP, de la SRIG, de l’Arche royale, etc.
  • 11 mai 1974 : initiation au grade d’associé à l’Ordre Martiniste dit de PAPUS. Puis sera Supérieur Inconnu Initiateur, Supérieur Initiateur Libre, Initié de Saint-Martin, Grand Maître du Suprême Conseil Martiniste et IVème Grand Maître de l’Ordre Martiniste Initiatique.
  • 12 juin 1978 : première rencontre avec Gérard KLOPPEL.
  • Année 1981 : plusieurs rencontres avec Robert AMBELAIN chez ce dernier, en particulier les 23 juillet et 17 décembre. Celui-ci parlera de lui dans ses ouvrages.
  • 8 juillet 1983 : réception au Royal Order of Scotland à Edimburg (Ecosse).
  • 20 décembre 1996 : baptême au niveau de l’Hindouisme (nom donné : Agastya).
  • 6 novembre 1998 : consécration comme évêque au sein de l’Église gnostique (ordination du 30 octobre 1993). Le même jour, dans le cadre martiniste et sous les auspices de la Rose+Croix d’Occident, sera reçu aux 66ème et 90ème du Rite de Memphis-Misraïm. Remise du dépôt Robert AMBELAIN des Arcana Arcanorum du Rite de Cagliostro et du Rite de Memphis-Misraïm.
  • 23 octobre 1999 : réception dans la filiation de FULCANELLI en qualité de Frère Chevalier d’Héliopolis.
  • 25 juillet 2001 : patente de direction de l’Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coens de l’Univers délivrée par la Rose+Croix d’Or (filiation allemande).
  • 28 septembre 2007 : patente du Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm signée de Gérard KLOPPEL, Grand Hiérophante, Grand Maître Mondial, accompagné des Grands Conservateurs Internationaux du Rite, déclarant lui remettre tout pouvoir pour diriger et développer le Rite au sein de la Franc-Maçonnerie régulière et traditionnelle, lui donnant autorité pleine et entière pour créer, installer et gouverner toute structure s’y afférent. Patente signée par :
    • Gérard KLOPPEL (Grand Maître Mondial et Grand Hiérophante du Rite 99e)
    • Daniel MAILLARD (Grand Chancelier International) 
    • Jacques MAISONNEUVE (Grand Secrétaire International)
    • Joseph CASTELLI (pour l’Ordre des Rites Unis)
  • 5 janvier 2008 : Gérard KLOPPEL lui confirme la Grande Maîtrise de l’Ordre Martiniste Initiatique (OMI) et du Souverain Sanctuaire des Chevaliers de Palestine.
    • Transmission chez Gérard KLOPPEL à Châteaurenard devant une assemblée de Frères et de Soeurs dont :
      • Catherine CA...LT
      • Patrick FA...RE
      • Richard RA...KI
      • Jean-Luc CH...IL
      • Elie ME...LE
      • Etc…
    • Il devient ainsi dans l'ordre de succession le IVème Grand Maître de l'OMI et le IIIème Président du Souverain Sanctuaire des Chevaliers de Palestine.
    • Un faux ordre de l'OMI existe crée par l'inénarrable Joseph CASTELLI qui est le Grand Maître incontesté de l'usurpation !
  • 6 janvier 2008 : patente de l’Ordre des Rites Unis donnée par Joseph CASTELLI
  • 20 janvier 2008 : patente lui conférant la charge de Grand Maître Général ad vitam 96ème du Souverain Sanctuaire International Régulier Égyptien et lui remettant délégation permanente et irrévocable pour créer et diriger ce Souverain Sanctuaire et y conférer, jusqu’au 95e inclus les degrés du Rite. Patente signée par : 
    • Gérard KLOPPEL (Grand Maître Mondial et Grand Hiérophante du Rite 99°
    • Daniel MAILLARD (Grand Chancelier International)
    • Jacques MAISONNEUVE (Grand Secrétaire International)
    • Joseph CASTELLI (pour l’Ordre des Rites Unis)
  • 3 février 2008 : patente de Gérard KLOPPEL lui conférant la charge de Grand Maître Général ad vitam 97° du Souverain Sanctuaire International Régulier Égyptien et lui remettant délégation permanente et irrévocable pour créer et diriger ce Souverain Sanctuaire et y conférer, jusqu’au 95° inclus les degrés du Rite. Patente signée par : 
    • Gérard KLOPPEL (Grand Maître Mondial et Grand Hiérophante du Rite, 99°)
    • Daniel MAILLARD (Grand Chancelier International)
    • Jacques MAISONNEUVE (Grand Secrétaire International)
    • Joseph CASTELLI (pour l’Ordre des Rites Unis)
  • 29 juin 2008 : première partie de la réception de Grand Hiérophante (99°) par Gérard KLOPPEL en vue de sa succession future.
  • 18 juillet 2008 : réception osirienne de Grand Hiérophante (deuxième partie de la réception à Istambul, Turquie).
  • 5 octobre 2008 : décès accidentel de Gérard KLOPPEL à Châteaurenard.
  • 10 octobre 2008 : enterrement de Gérard KLOPPEL. Est le seul à prendre la parole au nom des présents peu nombreux pour rendre un dernier hommage à Gérard KLOPPEL et demande à faire une chaîne d’union.
  • 10 octobre 2008 : création du Collège de la Grande Hiérophanie du Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm et de l’Ordre des Rites Unis de Memphis & Misraïm, partagé entre 
    • Michel GAUDART de SOULAGES, Grand Hiérophante ad vitam pour la Maçonnerie Régulière, dont les témoins sont  Jean-Luc CH...IL et Antoine PA...OY
    • Joseph CASTELLI, Grand Hiérophante ad vitam pour la Maçonnerie Universelle, dont les témoins sont Georges KO...AN et Daniel MAILLARD
  • 10 octobre 2008 : présentation par Joseph CASTELLI d’un document qui aurait été signé le 11 août 2008 par feu Gérard KLOPPEL nommant celui-ci 98° et non contresigné par les témoins habituels et dont le trait de la signature est hésitant (d’où un doute quant à la véracité de ce document).
  • 7 novembre 2008 : déclaration de la Confraternité Hermétique Rosae+Crucis d’Héliopolis et de Memphis reconnaissant que le seul et unique Grand Maître et Grand Hiérophante du Rite est MGS. Celle-ci sera suivie dans les semaines qui suivent par les déclarations de seize autres structures initiatiques.
  • 12 novembre 2008 : reconnaissance par le Souverain Conseil Gnostique du Rite Egyptien Rectifié.

  • 25 novembre 2008 : décret de Joseph CASTELLI conférant à MGS la qualité de Président d’Honneur du Suprême Conseil des Rites Confédérés, celui-ci n’acceptant qu’une présidence d’honneur.

  • 28 novembre 2008 : lettre de MGS à FS, Grand Maître de la GLNF, rappelant que le rôle de Grand Hiérophante ad vitam n’est pas celui d’un Grand Maître Mondial exerçant un pouvoir temporel, mais celui d’une autorité morale et spirituelle, conservateur du Rite.

  • 8 décembre 2008 : attestation par le Rite Egyptien Rectifié de la remise du dépôt des Arcana Arcanorum du Rite de Cagliostro et du Rite de Memphis-Misraïm de Robert AMBELAIN.

  • 15 décembre 2008 : reconnaissance par la Stricte Observance Templière.

  • 9 janvier 2009 : abrogation du Collège de la Grande Hiérophanie par décret magistral n°09010901 signé conjointement par MGS et Joseph CASTELLI. Par ce même décret, MGS 99e est reconnu comme seul et unique Grand Hiérophante Mondial ad vitam, Joseph CASTELLI devenant Substitut Général et Grand Hiérophante adjoint. MGS est donc de facto et de jure le XIIe Grand Hiérophante du Rite.
  • 1er février 2009 : enseignements initiatiques et secrets du 72e communiqués par le Grand Hiérophante à plusieurs frères martinistes à Versailles.
  • 15 février 2009 : communiqué du Grand Hiérophante annonçant un symposium Memphis-Misraïm à Versailles et rappelant avoir reçu personnellement de Gérard KLOPPEL, dans la lignée de Robert AMBELAIN, ainsi que de Frères Aînés, la totalité du secretum secretorum des Arcana Arcanorum dont il est, au sein du Rite, le seul dépositaire.
  • 18 février 2009 : communiqué du Grand Hiérophante invitant au symposium Memphis-Misraïm à Versailles et précisant que Joseph CASTELLI, suite à sa demande, se mettait en disponibilité de sa charge de Substitut Général.
  • 30 mai 2009 : 1er Symposium de Memphis-Misraïm à Versailles (France), sous sa présidence, à l’Université UIA.
  • 1er juin 2009 : remise des enseignements du Grand Consistoire Autocéphale du Patriarcat Gnostique.
  • 16 juillet 2009 : déclaration inconséquente de Joseph CASTELLI, s’attribuant le titre de Grand Maître Mondial (sic), et prétendant destituer le Grand Hiérophante de sa charge ad vitam !
  • 6 août 2009 : décret du Grand Hiérophante es qualité constatant que Joseph CASTELLI, à l’égard du Rite, s’est ramené à la vie profane et le radiant en conséquence de tous titres, fonctions et charges au sein du Rite Ancien et primitif de Memphis-Misraïm et de l’Ordre des Rites Unis de Memphis & Misraïm.
  • 30 août 2009 : déclaration solennelle des dignitaires de divers pays assemblés autour du Grand Hiérophante ad vitam, conservateur suprême du Rite, rappelant qu’ils se sont placés sous son autorité spirituelle et réaffirmant le rôle souverain des Grandes Loges Nationales pour l’administration et la gestion quotidienne dudit Rite, signée par :
    • Jean-Luc CH...IL (97°)
    • José-Antonio DI...ON (97°)
    • Jean-Pascal PI...OT (97°)
    • Patrick RI...RE (98°)
    • Laurette HO...DE (96°)
    • René PA...LI (96°)
    • Gaston CL...RC (95°)
    • Marie-Christine DA...GE (95°)
    • Patrick FA...RE (96°)
    • Mickaël de SA...HE (95°)
    • Michel LE...ER (95°)
    • Philippe RA...DA (95°)
    • Etc ….
  • 19 septembre 2009 : reconnaissance de Grand Hiérophante Mondial par Jean-Pierre GI...IE (97°), ancien Conservateur du Rite de Misraïm et Memphis, ancien Grand Maître du Rite de Misraïm (AA), ancien membre de la Loge d'Amon de l'Ordre Osirien Egyptien.
  • 17 octobre 2009 : fondation de la Grande Loge Indépendante et Régulière de Memphis-Misraïm à Versailles. Première assemblée du Souverain Sanctuaire International (SSI) de Memphis-Misraïm sous la présidence du Grand Hiérophante.
  • 26 mars 2010 : reconnaissance par l’Ordre Maçonnique Oriental du Rite Ancien et primitif de Memphis-Misraïm signée par le Grand Maître de la Grande Loge Française de Memphis-Misraïm PL.
  • Août 2010 : reconnaissance et soutien du cénacle dépositaire de la tradition du groupe de Naples : Raimondo di SANGRO, Luigi d’AQUINO, Léopold-Georges de SAINT GERMAIN, Giuseppe BALSAMO, Henry de TSCHOUDY, etc…, et plus récemment le prince PIGNATELLI.
  • 24 octobre 2010 : 2ème Symposium de Memphis-Misraïm à Barcelone (Espagne), sous sa présidence.
  • 1er novembre 2010 : reconnaissance par la Grande Loge Française des Rites Unis, signée par le Grand Maître LH, le substitut Grand Maître BL et le Grand Intendant LL.
  • 21 juillet 2011 : décret de reconnaissance par le Souverain Sanctuaire Latino-Américain des Rites Egyptiens de Memphis-Misraïm.
  • 12 septembre 2011 : traité d’amitié et de reconnaissance avec la Stricte Observance.
  • 12 septembre 2011 : traité d’amitié et de reconnaissance avec le Grand Orient Arabe Œcuménique puis est nommé comme Président du Comité des Sages.
  • 2 - 14 novembre 2011 : consécrations de loges, chapitres, aréopages et autres structures à Santiago (Chili), Valparaiso (Chili) et Lima (Pérou).
  • 18 avril 2015 : assemblée du Souverain Sanctuaire International (SSI) de Memphis-Misraïm sous la présidence du Grand Hiérophante à Paris.
  • 19 avril 2015 : re-confirmation de Grand Hiérophante (« le seul à préserver les dépôts de notre tradition ») par Jean-Pierre GI...IE.
  • 26 - 27 septembre 2015 : 3ème Symposium de Memphis-Misraïm à Bâle (Suisse), sous Sa présidence. 
  • 22 octobre 2016 : assemblée du Souverain Sanctuaire International (SSI)  de Memphis-Misraïm à Paris (France), sous sa présidence à Paris. 
  • 8 - 13 avril 2017 : Séminaire de la Grande Hiérophanie à Dompierre-les-Eglises inaugurant de nombreux séminaires dans le cadre de l'Académie Héliopolis.
  • 28 - 29 octobre 2017 : 4ème Symposium de Memphis-Misraïm à Londres (Angleterre), sous sa présidence.
  • 23 - 24 juin 2018 : Fête solsticiale et feux de la Saint-Jean du GOSRE à Villeneuve Saint-Georges (près Paris).
  • 20 - 21 octobre 2018 : 5ème Symposium de Memphis-Misraïm à Bucarest (Roumanie), sous sa présidence.
  • 6 décembre 2018 : nommé Grand Commandeur de l'Ordre de l'Aigle Noir (Haut Magister des Chevaliers Templiers | Grands Adeptes de l'Aigle Noir de l'Apôtre Saint-Jean).
  • 30 janvier 2019 : élu Grand Prieur du Prieuré Magistral Empereur Charlemagne (OSMTH).
  • 30 mai 2019 : intronisation comme chef coutumier (noblesse terrienne) au sein des Dougbo Djhou à Abidjan-Adjame (Côte d'Ivoire), sous le nom de Nanan N'GOBA II.
  • 5 juin 2019 : a été désigné successeur du F... Gérard KLOPPEL au sein de l'Ordre Souverain des Frères Ainés de la Rose+Croix. Occupe la place de ce F... décédé, comme Grand-Croix et Maître Guide. Le même jour, reçu dans la Collégiale de Formation Al Kemia du Sanctuaire d'Etudes des Frères Ainés de la Rose+Croix.

  • Libreville, Estuary, Gabon
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